Liban média

Médias indépendants au Liban : les coulisses du financement 7 C’est dans le sillage des mouvements sociaux au Liban que les médias indépendants ont émergé. Photo : Camélia Aidaoui/EPJT Au Liban, la presse joue souvent le rôle de chambre d’écho pour...
Jeunes à Marrakech

Jeunes à Marrakech

Vingt et un jeunes journaliste de l’Ecole publique de journalisme de Tours sont partis à Marrakech à la rencontre de sa jeunesse. Sur place, ils ont multiplié rencontres, visites, interviews…

L’homme derrière l’insigne

L’homme derrière l’insigne

Quand un policier revêt son uniforme bleu, il est censé laisser derrière lui ses préjugés, les convictions qui l’empercheraient de faire son travail justement et de servir la communauté dans son ensemble. Pourtant, il suffit d’ouvrir ses réseaux sociaux pour constater que certains officiers abusent de leur pouvoir, discriminant les personnes issues des minorités. Aux Etats-Unis, la plus impactée est la communauté noire. Détroit fut le théâtre de ces injustices, il y a plus de quarante. Qu’en est-il aujourd’hui? Quel regard un officier noir porte-t-il sur les discriminations encore perpétrées par la police envers les personnes de couleurs?

Marrakech, le grand ménage

Marrakech, le grand ménage

En moyenne, entre 800 et 900 tonnes de déchets sont produites chaque jour à Marrakech. La ville risque de crouler sous les ordures. La commune consacre un tiers de son budget à leur gestion. Il devient urgent de trouver des solutions et d’investir sur le marché de la valorisation et du recyclage.

Durs et cuir

Durs et cuir

Dernier club de motards gays de la ville, les San Diego Cruisers parcourent depuis sept ans les routes de Californie sur leurs Harley Davidson. Entre l’homophobie de certains habitants et l’hostilité des autres gangs de bikers, le quotidien de ces motards est de plus en plus compliqué.

Jex Blackmore, le diable au corps

Jex Blackmore, le diable au corps

Malgré les menaces des chrétiens intégristes, Jex Blackmore porte la voix des membres du Temple satanique aux États-Unis depuis maintenant plus d’un an. Un drôle de nom qui cache une réalité plus complexe : et si le Temple satanique était bien plus qu’une simple bande d’adorateurs du diable ?